syndrome 4D 49 4C 4C 45 56 41 55 58 20 trois de Vrillette Le Grand Gaumé
syndrome 4D 49 4C 4C 45 56 41 55 58 20
tentative première :
diffusion à bas bruit,
Fièvres,
apocalypse,
trois de Vrillette
Le Grand Gaumé
pour mémoire,
moment domino paradigme émotion
les prolégomènes 16 ruine regret
contagion 65 horlas angoisse
diffusion à bas bruit 50 égrégore rien
Fièvres 04 rien colère
apocalypse 45 emprise angoisse
épilogue 00 détachement rien
Cette fois, dans un premier moment, celui de la diffusion à bas bruit, je ne me suis pas focalisé sur un protagoniste en particulier.
J'ai interprété l'égrégore. J'ai donc évoqué les sentiments les plus exacerbés qui animaient les protagonistes.
Leurs inquiétudes, leurs aspirations, leurs satisfactions et leur conjugaison.
Je me suis laissé guidé par le flux des émotions en considérant néanmoins qu'ils étaient trois présents : Jean-Innocent, Morag et Paul-André ainsi qu'un grand absent Jean-Honoré.
Mais les considérer ne signifie pas que je souhaitais nécessairement les interpréter, mais plutôt les évoquer.
Ainsi la session débute sur une phase introspective de Géraldine, et assez naturellement Claude-Gérard intervient, mais l'un comme l'autre témoignent de ce qu'ils perçoivent des autres, de ce qu'ils ressentent à leur contact.
Le Moment Fièvres est plutôt celui de Paul-André, et l'apocalypse nous délivre cet enfant qu'on aurait à soi, et rien qu'à soi, depuis le temps qu'on en a pas" soit Le Grand Gaumé, le compagnon de Jean-Innocent.
Le travail du bois a été mis au coeur de la session et en lien avec le thème de l'égrégore.
J'ai tenté de créer les moments en laissant le réel ressurgir, comme dans le cas des témoignages de Paul-André ou au travers du jeu de gaumés de Jean-Innocent.
Je n'ai pas réalisé de préparation non préparation et me suis laissé guider par le fil des émotions. Toutefois je disposais de tous les éléments que j'avais précédemment mis en jeu. La session m'a semblée plus spontanée, peut-être au détriment de la cohérence du récit, mais pas à celui du ressenti à la table.
Le fragment du poème grasse matinée extrait du recueil Paroles de Jacques Prévert m'a semblé prendre tout son sens.
J'ai tenté d'associer des temps d'émerveillement liés à la nature pour chacun des protagonistes.
Les moments étaient quant à eux adossés à trois entrées de l'Almanach.
La forêt m'a semblé présente la majeure partie de cette session.
Mon seul regret est d'avoir tronqué l'apocalypse sans jouer l'angoisse de l'emprise.
Peut-être la jouerai-je sous forme d'une visitation, mais plus probablement la prochaine session sera consacrée à
Qu'en pensez-vous ?
localisation : Vosges, 2022, Cornimont, La Bresse, Gérardmer, Retournemer.
durée de la fiction : 1 heure et 14 minutes.
Un grand merci pour ce retour !
RépondreSupprimerA. Les tirages de domino donnent une partition intéressante, notamment avec ce final : "détachement"
A. C'est un peu le joker du jeu, une absence d'injonction que ce soit en terme de paradigme ou d'émotions, c'est l'opportunité d'achever le récit dans la cohérence du personnage et à sa convenance.
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