26 de Merdier ça n'existe pas


IN’BÒ






26 de Merdier




ça n'existe pas !


Cette après-midi, avec Xavier nous avons poursuivi notre exploration de Forêt-Moussue.

Nous avons joué trois jours et donc trois cartes IN’BÒ, douze cartes de L'Ensourcellement, quelques entrées de l'Almanach et j'ai joué trois cartes Nervure.

La session débute sur un coup pour les ferlempins.

Xavier joue Jean-Alain




Est-il le Folhiu ? Il en est convaincu, car lui il est muscé.

En guise de démonstration de son pouvoir il assène de vigoureux coups de poings à une hêtre. Jeanne-Marie tente de le convaincre que le "musc" n'est pas tout. Elle dépose un bécot sur sa joue, mais ne convainc pas Jean-Alain qui poursuit son combat contre la verdure. Elle tente de lui faire entendre les pleurs de la hêtre, sans succès. Elle l'invite à boire les larmes de l'arbre, mais est la seule à s'y abreuver.




Jean-Robert après avoir essuyé quelques gnons n'est pas du tout d'accord. Un bon roi ne moleste pas ses sujets, quoiqu'il finisse pas s'agenouiller, non sans récriminer, pour le saluer devant un gogne surgit d'entre les troncs.

Mais Frédéric-Jacques voit dans le grand homme, un Folhiu qui s'ignore. Une couronne de balais de sorcière ceint sa tête alors qu'il dépose délicatement sa viole sur un banc de mousse.

Les ferlempins discutent âprement avec moult démonstration ou contestations le pouvoir du roi Jean-Alain. Mais la majorité voit plus en Basile, le gogne, le Folhiu oublié.

Tour de La Fonge.

La Met blanche emporte l'âme du traitre Albert.

Grasse-nuit, tout est gelé. Le froid est mordant, le sol glissant et Albert, à la traine, bute sur une racine.

Il tombe dans un trou qui se révèle être le terrier d'un blair'homme. Ce dernier s'apprêtait pour le coucher mais lui offre gentiment un thé amer du souvenir pour le réchauffer.




Le givre qui couvre sa parka fond sur le tapis et il égraine ses souvenirs de la rue. 






Le froid, la faim, mais aussi la gentillesse d'un vieux monsieur vêtu d'un costume de tweed.

tour des ferlempins. Xavier joue Henri-Robert.

Les mômes geignent. La disparition d'Albert les effraie, surtout Jean-Robert. Depuis qu'il a disparu son nez s'emplit de morve mêlée de lait. Il est très inquiet. Frédéric-Jacques l'invite à se remémorer le premier mot qu'il prononcé étant enfant, qu'ainsi il recouvrirait son pouvoir.

Dans l'amas de ronces émerge un immense champignon qui coiffe une bicoque croulante sous les lierres.

Jean-Robert butte sur le cadavre d'un mulot. Ca pue ! Il a trouver son mot et sur ce, il s'enfuit considérant que c'est un endroit qui pue la fonge, qui pue la mort.

Seuls Henri-Robert et Héloïse restent. Elle toque à la porte et entre. Un myconide l'accueille et lui offre des cookies délicieux dont elle se baffre. Elle se réchauffe et semble tout à son aise. Elle ôte sa doudoune. Elle en mange encore, malgré les remontrances de Noak, son hôte. Elle tente de s'approprier le cookie de l'homoncule Tchump, sans succès. Puis elle est soudain très fatiguée et demande au maître des lieux de lui prêter son lit. Elle s'endort et grandit encore au point que cèdent les pieds du lit. Alors Noak Hillinion lâche une nuée de spores et elle repart plus petites avec seulement ses pires cauchemars en tête. 





Henri-Robert entre à son tour et discute avec leur hôte qu'il trouve très agréable. Mais ce dernier s'endort soudainement et les lamelles qui couvrent ses avant-bras libèrent un dense nuage de spore à l'odeur entêtante de primevère. Il ne prend qu'un cookie et pas la potion secrétée par Hué, le gros champignon tristounet et laisse un mot annonçant son retour prochain à son nouvel ami. Henri-Robert est tout chamboulé par la rencontre qu'il vient de faire et partage son cookie avec les ferlempins.


Un bien belle session de 1h36m dont voici le témoignage audio :

26 de Merdier, ça n'existe pas !


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