Erell et Michel suivi de Teddy au présentatif du subjoncticiel

 Erell et Michel, le Scolopendre

suivi de 

Teddy au présentatif du subjoncticiel

joués avec





Exploirateurs de Bruines,

Perdus sous la pluie

et Grandipousse



Après une longue période d’abstinence, je renoue avec mes vieux démons.

Non !

Les talents conjugués de Vivien Féasson et de Willy Cabourdin ont séduit la joueuse qui m’a sollicité.

Alfiya a lu avec un grand plaisir l’ouvrage et nous avons convenu de jouer au plus tôt.

Valentin nous a rejoint.

Alfiya m’a confié qu’elle avait joué, adolescente en Russie, dans une forme proche du grandeur nature en mode freeform.

Soucieux de proposer une session immersive dans un cadre temporel restreint, (14 heures-18 heures), j’ai proposé à Valentin et Alfiya de découvrir l’univers de L’Averse et leurs personnages en jouant à Perdus Sous la pluie.

Nous avons défini les lignes et les voiles identifié les cartes X et convenu des signes empruntés à Les Sentes.

Chacun a complété son questionnaire.

La fiction s’est déployée.



Erell est perdue. Tout est si différent.


Nous avons tout trois basculé.

J’ai interrompu la fiction sans donner la lumière sur mon personnage Frédéric-Jacques, afin de conserver suffisamment de temps pour profiter de nos gaminots.

Nous avons rapidement déterminé nos résistances, nos possessions et notre petite communauté pour jouer la suite.









J’avais disposé quelques objets afin de renforcer l’atmosphère à la table. Des feuilles mortes, des poupées russes, des maquettes cassées et plein d’autres babioles qui pourraient ravir un exploirateur. Et s’est ainsi que l’un d’eux a alimenté la fiction par la suite : cette épée de bois dont s’est armé Michel Fache et qui vaudra à la pauvre Erell un contact cuisant avec un scolopendre blanc et gluant.


Michel Fache

Erell a choisi d’aller en forêt plutôt qu’en ville. Bibruinotheque Le trésor du Vorgne

La fiction s’est déroulée sans entrave avec une aversité modérée mais une atmosphère lourde teintée de poésie.

J’ai détourné quelque peu, euh, même beaucoup, les règles de Perdus sous la pluie, pour conjuguer ce deux moments. Chacun conserve sa tonalité propre et l’immersion dans l’univers de jeu s’en trouve renforcée. Nous avons ensemble observé la naissance de nos personnages et la communauté n’en n’a que plus d’attrait.


Alfiya et Valentin ont apprécié.

Nous jouerons la suite le 6 avril.


Voici le témoignage audio : Erell et Michel, le scolopendre.


Aujourd’hui j’ai renouvelé l’expérience avec Alex et Xavier désireux de participer à la session du 6.



Alex


Xavier


Chacun avait initialement dans l’idée de concevoir son personnage en amont, mais le dispositif leur a néanmoins convenu et nous avons donc joué sans préparation préalable.



Zoya par Alex


feuille de personnage de Xavier

Xavier





Nous nous sommes mutuellement surpris par les liens illogico-logiques liant par le ténu et l’improbable notre galerie de personnage.

Après la phase de Perdu sous la pluie, j’ai consulté l’augure Grandipousse de Thomas Munier qui m’a donné « une brigande a volé ton doudou préféré », du pain béni conjugué à la peur que nourrit Olaf pour les clowns. La dégoutanceté choisie par Xavier pour son personnage Sapristi a conféré beaucoup de couleur odeur à l’ensemble.

Ce fut une très belle partie.

En voici le témoignage audio :

Teddy au présentatif du subjoncticiel

Commentaires

Articles les plus consultés